Généralement, la contraception permet d’éviter que la fécondation d’un ovule par un spermatozoïde aura lieu, c’est la conception. Elle empêche ainsi l’adhésion de l’ovule fécondé à l’incrustation de l’utérus, c’est ce qu’on appelle la nidation. En effet, l’efficacité de quelques mesures contraceptives dépend réellement de la façon dont les instructions seront suivies. La contraception rassemble les moyens nécessaires pour empêcher une grossesse non désirée. Ces moyens concernent plus les femmes que les hommes, que ce soit naturel ou artificiel.

La contraception : c’est quoi ?

La contraception désigne une méthode utilisée pour contrôler la fécondation, impliquant le nombre et la période des grossesses. En général, il existe des méthodes insistant sur la stérilisation et ainsi que l’avortement. Toutefois, il existe de nombreuse méthodes de contraception, mais certaines sont moins efficaces et d’autres sont plus fiables. En effet, l’efficacité de cette méthode dépend profondément de la façon dont les instructions sont suivies, qui sont beaucoup plus faciles à respecter. En outre, l’utilisation de cette méthode pourrait être classique (irrégulière) et parfaite (qui suit au fur et à mesure les instructions). Certaines femmes oublient parfois de respecter les doses prescrites pour la contraception, par conséquent, elles optent pour l’utilisation parfaite, car les méthodes contraceptives orales sont moins efficaces. Mais l’utilisation classique est, en effet, la même que l’utilisation parfaite vu que les implants seront toujours remplacés. Pour trouver plus d’informations sur la contraception et la sexualité, veuillez consulter : sexualite-et-contraception.fr

Quelle est l’efficacité de la contraception ?

L’efficacité des moyens contraceptifs concerne ainsi la performance des méthodes utilisées, qui implique notamment l’efficacité théorique (proportionnelle à l’utilisation correcte de la méthode) et l’efficacité pratique (qui est calculée sur la totalité de l’échantillon). Chaque moyen contraceptif implique principalement deux taux d’efficacité : dont l’efficacité en utilisation optimale et l’efficacité en vie réelle. En réalité, l’efficacité pratique est variée selon les caractéristiques de l’échantillon déterminé. De ce fait, l’indice de Pearl va déterminer la perception des risques de grossesse, ceci est donc valable dès la première année d’usage de la méthode. Ce risque est généralement plus élevé par rapport aux années ultérieures, et il est parfois remplacé par les calculs basant sur les premiers mois d’usage. En outre, aucun moyen contraceptif n’est pas 100 % efficace, mais il serait jugé selon ces catégories d’efficacité. En effet, l’efficacité théorique est mesurée selon cet indice Pearl (déterminant l’efficacité de la méthode de contraception), qui correspond notamment au nombre des grossesses accidentelles (déterminé après un an d’usage optimal pour 100 femmes, sans aucune erreur, oubli ou interférence). Et pour l’utilisation pratique, elle permet d’évaluer le risque de grossesse lié à la méthode contraceptive elle-même, et ainsi que le risque correspondant à son utilisation dans la vie de tous les jours.

Quelles sont les différentes méthodes de la contraception ?

Il existe ainsi différentes méthodes contraceptives, dont : le préservatif, le stérilet ou D.I.U (Dispositif Intra-utérin), la pilule contraceptive et la pilule du lendemain.

Le préservatif est fait pour les hommes et aussi pour les femmes. C’est un moyen de contraception qui permet de protéger de façon efficace contre les maladies sexuellement transmissibles (MST) et le SIDA. Il capte principalement les spermatozoïdes afin de les empêcher de se rencontrer avec l’ovule, qui feront l’objet d’une fécondation.

La pilule contraceptive est, en effet, une méthode de contraception hormonale, qui est prise chaque jour. Cette pilule est délivrée généralement en pharmacie, avec la prescription d’un centre de planning familial ou d’un médecin. Elle agit dans des différents endroits, amoindrit la couche superficielle de l’utérus et renouvelle le glaive utérin.

Le stérilet ou le DIU permet de retarder l’alourdissement de la couche superficielle de l’utérus. Effectivement, les stérilets en cuivre préservent les spermatozoïdes dans le but de diminuer leur durée de vie. En outre, les stérilets hormonaux détachent les hormones qui pourraient empêcher la fécondation.

Il y a aussi la pilule du lendemain, qui est n’est pas exactement une méthode contraceptive, vu qu’elle ne serait prise seulement qu’en cas d’un rapport sexuel non ou mal protégé. Normalement, elle ne devrait pas devenir en aucun cas une habitude (c’est-à-dire en cas d’exception seulement), et de plus, elle n’est pas totalement efficace.

Comment bien choisir sa méthode contraceptive ?

Pour bien choisir sa méthode contraceptive, il faudrait bien définir principalement l’option qui correspond exactement à son quotidien et à sa personnalité. La personne pourrait ainsi envisager de se tourner vers une autre méthode de contraception, qui serait beaucoup plus facile à penser, comme les D.I.U (stérilets) et l’implant. Si cette personne a un rythme de vie un peu décalé, elle doit certainement éviter de prendre une pilule à une heure fixe (ce n’est pas idéal pour ce genre de cas). Toutefois, une femme pourrait effectivement se tourner aussi vers un professionnel de santé, comme une sage-femme, un généraliste ou un gynécologue. Ceci serait donc dans le bu d’évaluer les divers risques et ainsi que d’y trouver une méthode contraceptive qui la convient le mieux. De ce fait, certains paramètres sont impliqués dans le choix de la contraception, comme les maladies, les antécédents, les risques cardio-vasculaires, le poids, l’âge, la situation familiale, etc.